Toujours dans l’oreille et l’oeil en dépit de sa date, 1938, cette interjection prononcée par J. Gabin à Michelle Morgan suivant les dialogues de J. Prévert et la conception de M. Carné. Nelly réplique alors : « embrassez-moi ! » Nous sommes dans la transposition du roman « le quai des brumes » de Pierre Mac Orlan, paru en 1927.
Amoureux de nature comme vous savez j’ai succombé aux charmes tout frais tout neufs d’une jeune libellule de marque « grande Aeschne » sortant des ateliers de cette nature très prodigue tant que l’homme ne la tue pas. En effet ses yeux alors encore en construction étaient superbes. La belle avait quitté son exuvie (non retrouvée in situ cette fois) voici peu et prenait de l’ampleur très lentement aux rayons du soleil, agrippée à la première plante venue. J’ai eu tout temps de photographier car elle ne s’est envolée que 36 heures plus tard. Les photos suivantes sont suffisamment évocatrices pour se passer de commentaire. J’ai déjà par le passé, vers 2000, marqué mon intérêt pour cet insecte ici, reproduisant par le dessin aquarellé l’une de ces exuvies :
http://jpbrx.perso.sfr.fr/aeschna.htm
magnifiques ! (les photos) et les belles. La bouche n’est pas mal non plus
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Merci pour votre appréciation. A titre d’info pour mes lecteurs les commentaires et photographies de ‘Louisevs’ sur son blog sont tout à fait intéressants en ce qui concerne la vie au Japon et la culture de ce pays. Les libellules sont à leur aise et à leur place dans cette nation au regard volontiers naturaliste.
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Quelle ligne ! Belle demoiselle et excellentes photos
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